Il est bien un type de fétichiste qui trouve son plaisir dans la douleur, le sadomasochiste. Torture physique et chatiments corporels sont pour lui une source infinie de plaisir sexuel. C’est pour cela qu’aujourd’hui nous allons aborder ce qui est peut-être le but ultime, la douleur la plus aigue pour un homme : la torture testiculaire, ou ball torture. Ce genre de suplices, inscrit dans le CBT ou Cock and Ball Torture, est pratiqués par les sadomasochistes les plus aguerries et peut recquérir une préparation aussi bien physique que mentale. C’est pourquoi dans cet article nous vous proposons une présentation des différentes ball torture ainsi que quelques conseils pour débuter vos séances de tortures testiculaires.
Ballbusting et tamakeri.
Le ballbusting, ou tamakeri, est un terme général désignant le fait de frapper les testicules de l’homme, le but étant de provoquer une vive douleur provoquant l’extase des sadomasochistes les plus aguerries.Ils sont généralement pratiqué dans le cadre de relations BDSM avec donc un dominant qui se chargera de donner les coups et un dominé qui les recevra. Cependant, comme toutes les pratiques BDSM que nous avons déjà évoquées à travers nos différents articles, elle peut se pratiquer de manière ponctuelle, pour essayer, parce qu’elle demande très peu de préparatifs. Attention toutefois, il faudra déjà avoir un minimum confirmé un attrait pour le sadomasochisme, la douleur étant extrême au possible.
Le ballstretching.
Le ballstretching se traduit en français par l’étirement du scrotum. Possibles grâces aux ballstretcher, des anneaux de métal cuir ou latex, qui imposent au scrotum un allongement de par leur poids et par l’extension qu’ils provoquent. Cette pratique, en plus de provoquer douleur et contraintes qui raviront les fétichistes, peut servir également de manière esthétique ou médicale, pour retarder l’éjaculation par exemple. Le ball stretcher peut être muni de poids et ou de vis pour augmenter le ressentis.
Le séparateur.
Il s’agit d’anneaux servant à séparer le scrotum en deux par le biais d’une pièce métallique. La douleur se fera ressentir grâce au niveau d’écartement et à la pression appliquée pour tenir les anneaux.
La cire chaude.
Deux douleurs valent mieux qu’une non ? On peut utiliser la cire chaude pour brûler la peau du testicules mais également pour épiler celui-ci combinant deux douleurs et augmentant exponentiellement les sensations.
L’infusion du scrotum
Comme son nom l’indique, cela consiste à plonger le scrotum dans un récipient contenant de l’eau bouillante. La douleur de brûlure est intense et le dominant peut se réjouir de voir son soumis trembler de douleur. L’opération apporte également une infertilité temporaire, les testicules ne résistant pas aux grosses chaleurs.
L’électro-torture.
Des électrodes ? Une paire de couilles ? L’électro torture c’est le mélange des deux univers. La sensation d’électrisation est unique et bien gérée, devrait procurer une jouissance absolue.
Le nut-cracker.
Littéralement « casse-noix », permettent d’exercer de fortes pressions sur les bourses. Il peut s’agir de deux planchettes reliées par quatre vis qu’on peut serrer ou de dispositifs plus complexes tels que des tubes métalliques comportant en leur centre une grande vis soudée à son sommet à une pièce métallique en contact avec les bourses. Sensation garantie !
Le parachute.
Nommé ainsi de part sa ressemblance avec… un parachute, c’est un cône de cuir fixé à la base du scrotum grâce à des lanières. Ils peuvent posséder plusieurs chaînes pouvant accueillir des poids ou diverses pointes mais sert généralement comme un objet décoratif, pressant les boules entre elles.
Le humbler.
Un appareil de torture testiculaire composé d’un ball cuff (des menottes à couiles) et d’une barre passant derrière les jambes. L’appareil force son porteur à être en position quatre pattes sous peine d’un étirement violent du scrotum. Cette position à donné naturellement son nom à l’objet, humbler signifiant humiliateur.
Le testicle cuff.
Le testicle cuff est une variante du humbler comportant un cockring ainsi qu’un cadenas permettant de le verrouiller. La sensation d’humiliation n’est que plus grande lors du port de cet objet qui ravira une nouvelle fois les amateurs de sadomasochisme.
Vous connaissez maintenant beaucoup de méthodes pour pratiquer la torture testiculaire. Cependant, pour débuter, il faudra prendre quelques précautions et se préparer aussi bien mentalement que physiquement. Laissez nous vous donner quelques conseils pour débuter le ball torture à votre tour.
Parlez-en à votre partenaire.
Vous avez envie d’essayer mais vous ne savez pas si votre partenaire voudra ? Le plus simple est toujours d’en parler. Si vous êtes dans une relation BDSM, votre dominant ne devrait pas y voir trop d’inconvénient. Dans une relation plus classique, ça peut parfois être peu compréhensible. Rassurez votre partenaire, montrez lui ce qui vous plairait, quel objet vous souhaiteriez utiliser, soyez clairs sur vos intentions, la communication est la base de tout
La préparation.
Comme avant toute expérience, il faut se préparer. Notre meilleur conseil pour expérimenter ce genre de douleurs et de vous chouchouter avant la séance. Offrez à vos testicules un massage bien mérité, une bonne douche bien chaude et pourquoi pas pour commencer doucement une crème anesthésiante. N’oubliez pas qu’il s’agit là d’une expérience très douloureuse et qui pourra potentiellement vous blesser donc n’oubliez pas les soins après la séance. Enfin, rien ne vous est imposé, si vous vous rendez compte que ce n’est peut être pas pour vous, arrêtez et revenez à quelque chose de plus soft, pour pourquoi pas retenter la chose plus tard.