Il existe une infinité de pratiques fétichistes dans le monde. Certaines sont communes, d’autres moins mais tolérées par la norme sociale. Cependant, certaines d’entre elles brisent les tabous. Scatophilie, ondinisme, émétophilie, ce genre de pratique rebutent au premier abord mais se voit très appréciés par ses amateurs. Décrivons quelques unes de ces pratiques, en commençant par la plus connue d’entre elles…
La scatophilie
Pratique très peu acceptée par notre société mais pourtant assez pratiquée à son échelle. La scatophilie est le fait d’être excité par les excréments, généralement ceux d’un autre. On y dicerne plusieurs pratiques distinctes : là où certains s’enduisent de celles, d’autres pratiquent l’urophagie, le fait de manger les excréments. Le goût, l’odeur, les amateurs de “caviar” en raffolent et partagent leurs conseils nutrition via nombre de blogs accessibles sur le web. Le scatophile commence généralement la pratique lors d’une séance BDSM sous contrat, pour expérimenter une nouvelle forme de domination plus hard. Cependant, comme pour toutes les pratiques de cet article, il faudra un partenaire de confiance et médicalement sain pour pratiquer.
L’ondinisme
L’ondinisme, plus connu sous le nom d’urophilie. Vous voyez de quoi on parle, il s’agit là du désir sexuel provoqué par l’urine. Au même titre que la scatophilie, les pratiquants s’en badigeonnent le corps, se lave avec ou le boivent. Tout commence généralement sous la douche, un pipi sur la jambe, une douce sensation chaude. Et vous voilà à partager une séance uro avec votre partenaire. Bien sûr, ces séances se pratiquent dans un endroit salissable, facile à nettoyer ou protégé. L’urine se verra souvent nommée “champagne” par les amateurs, effaçant ainsi le simple pipi pour quelque chose de plus élégant et désirable.
L’émétophilie
Dernière pratique que nous vous présentons, l’émétophilie est tout simplement l’attrait sexuel pour le vomi. Aimer voir son partenaire vomir, s’enduire avec, lecher un peu pour en ressentir le goût. Cette pratique est moins connue et donc moins représentée dans les domaines pornographiques, mais une communauté de niche persiste à éveiller les gens à l’émétophilie.
Le fétichisme s’étend au-delà des frontières du tabou. Ces diverses pratiques, souvent vues commes sales et dégradantes, n’en sont pas moins une source de désir et de créativité pour leurs adeptes. Vous aimez ou aimeriez essayer ? Découvrez nos modèles pratiquants dans la catégorie gourmet.