Sur ce site on parle du fétichisme sous toutes ses formes. Mais il y a certains fétiches, moins populaires que vous ne connaissez surement pas. On va vous présenter quelques-uns de ses fétiches insolites qui malgré les apparences, combles de plaisirs les adhérant de ses pratiques.
La knismolagnie, une drôle de paraphilie.
Le mot knismolagnie peut faire peur au départ, il signifie simplement le fétiche des chatouilles. Les chatouilles font souvent partie d’un jeu érotique entre partenaires. Souvent avant les préliminaires, c’est un moyen de détendre l’atmosphère et de faire monter la température. Les fétichistes des chatouilles éprouvent une grosse excitation durant ses moments, en effet certaines zones plus sensibles aux chatouilles (aisselles, plante des pieds) peuvent aussi être des zones érogènes. Ce fétiche se marie bien avec le bondage et d’autres pratiques BDSM.
Le fétichisme des ballons et les looners.
En voilà un fétiche insolite, les looners. Pas de talons, de tenues en cuir ou de culotte sale, ce qui fait vibrer les looners c’est les ballons de baudruche. Les formes, l’odeur, la façon de les éclater (le fameux popping), tous ses paramètres font le désir du fétichiste. Certains préfèrent les exploser d’autres les manipuler et se frotter avec, ceux qu’ils ont en commun c’est la passion pour l’objet. Le gonfler fait partie du rituel des looners, une fois bien gonfler la partie peut commencer. Il existe des vidéos de looners porn sur internet qui seront plus explicites sur la pratique.
La forniphilie, dans la peau d’un objet du quotidien.
Et si être un objet faisait partie de l’acte sexuel . Prendre la forme ou du moins le rôle d’une table, d’une chaise, de toilettes, c’est ça la forniphilie. Cette pratique est apparenté au BDSM, le sujet est généralement dans une position compromettante, en position de soumission face aux partenaires qui “l’utilisent”. Le plus courant reste le fait d’être une table. C’est un véritable fantasme pour certains de voir son partenaire dépersonnalisé, supportant le verre, le cendrier ou les pieds en éventail de son maître /maîtresse.
Retour en enfance avec l’autonépiophilie.
Retour en enfance avec cette forme de paraphilie. L’autonépiophilie s’apparente à un jeu de rôles ou un des partenaires prend le rôle d’un bébé ou d’un enfant. Donner le biberon, porter des couches, marcher à quatre pattes, gémir comme le ferait un bébé. Voila ce à quoi il faut vous attendre dans ce fétiche. Les plaisirs se trouvent dans le fait d’être infantilisé, recevoir l’attention qu’un enfant a besoin du fait de sa dépendance aux adultes, par ailleurs le rapport sexuel est parfois exclu de la pratique. Les majorités des fétichistes des couches pratiquent l’autonépiophilie.
Se relâcher avec l’éproctophilie.
Ce fétiche va surement vous paraître comique, l’éproctophilie c’est le fétichisme de la flatulence. Non seulement l’odeur de ses dits “pets” mais aussi le bruit, qui peut varier de mille et une manières suivant la personne et le moment. La pratique reste très peu connue et pratiquer. Il est difficile de dire si les sujets sont vraiment attirés par les flatulences en elles-mêmes ou par la personne qui les émet.
Le feeding ou le désir de grossir.
La recherche du corps parfait est partout sur internet, régime minceur, programme de sport, chirurgie… Seulement il y en a pour qui la silhouette angélique n’a pas celle que l’on pourrait croire. Le feeding c’est une relation entre une/un feedie et un/une feeder. Le feeder fantasme sur le fait de nourrir (dans l’optique d’une prise de poids) son partenaire, la feedie. Les feedies atteignent parfois des poids dangereux, c’est pourquoi il faut prendre ses précautions avec cette pratique qui peut s’avérer risquer. Il est arrivé que des feedies ne soient plus capables de se déplacer suite à de trop grosse prise de poids.
Fétichisme des oreilles, à bon entendeur.
Une des parties généralement les moins visibles sur un visage, les oreilles. En effet le fétichisme des oreilles est plus commun qu’on le croit. Les lécher, les mordiller, introduire son doigt ou sa langue dans le lobe, voila ce qui fait rêver les fétichistes. La forme et la taille, avec ou sans boucle, le choix sont larges dans l’amour du pavillon. Alors ne cachez plus vos oreilles sous vos cheveux et laissez-vous admirer par ses fétichistes, à condition que vos oreilles retiennent leurs attentions.
Une autre forme de voyeurisme, le Cuckolding.
La pratique surement la plus connue de cette liste, mais pas moins insolite. Le Cuckolding, pratique associée aux BDSM et précisément la Domination, consiste dans le fait d’assister à un ébat entre sont partenaires et un tiers. Le spectateur est souvent humilié pendant l’ébat, ce qui accroît bien sûr son excitation. Cette pratique est très différente du cocufiage commun. Le spectateur de la scène est la plupart du temps à l’origine de l’initiative.
Précisions sur ces fétiches.
Beaucoup de ses paraphilies sont simplement des fantasmes pour certains ou un moyen d’apporter du changement dans leurs rapports. Le fétichiste lui ne voit que par son fétiche, ce n’est pas quelque chose de spontanée qui disparaît une fois l’acte réaliser. Ces fétiches sont aussi souvent issus d’un autre fétiche plus général comme le BDSM. Comme nous avons vu plus haut avec la forniphilie ou l’autonépiophilie, ces pratiques sont des jeux de domination/soumission. Le fétichisme n’est pas tout noir ou tout blanc, il faut parfois nuancer pour y voir plus clair.